Un an après avoir investi près d’un million d’euro dans un nouveau centre d’usinage et de façonnage du bois et diversifié son offre de produits par la mise en oeuvre d’un partenariat avec le fabricant écossais James Jones & Sons, France Poutres, spécialiste de la poutre en I dresse un premier bilan de cette stratégie de développement. Soucieux de mettre à disposition de ses clients une offre de solutions globales sur le marché de la poutre I, France Poutres a revu son mode d’organisation et intégré les activités d’usinage et de taillage du bois en interne. Capable d’usiner toute pièce de bois – bois massif, contrecollé, lamellé-collé et poutres en I – de différentes essences jusqu’à 14 m de longueur, la société propose son expertise sur un grand nombre de marchés : charpentes traditionnelles, planchers techniques, fermes et fermettes, auvents, aménagements extérieurs, etc. « En seulement un an, nous avons déjà usiné plus de 1 000 m3 de bois dans notre nouveau centre d’usinage Hundegger K2i », précise Noël Praud, président de la société. Grâce à ce nouvel équipement, France Poutres se distingue par la qualité des usinages spéciaux qu’elle réalise sur ses poutres en I (queues-d’aronde, coupes biaises, perçages, etc.). La qualité de ces produits s’ajoute aux prestations de service proposées par l’entreprise avec succès aux enseignes : débits sur liste millimétriques, réalisation de kits toiture et plancher, mises en stock adaptées à la place disponible en agence, service technique intégré, possibilité de livraison sur chantier… Simultanément, France Poutre distribue dans l’Hexagone les poutres JJI, fabriquées par son partenaire James Jones & Sons, lesquelles complètent son actuelle gamme de produits. Dotées d’une âme OSB, les poutres JJI se positionnent sur le marché des montants de mur à ossature bois, des solives de plancher à faible et moyenne portée et des chevrons autoporteurs. Avec cet élargissement de gamme, France Poutres répond à la demande croissante de produits standardisés à coût maîtrisé, tendance expliquée par le développement des constructions bois mais la nécessité de réduire leurs coûts de fabrication.