L’incendie qui a ravagé les toitures du logis royal le 10 janvier dernier aurait pu avoir des conséquences désastreuses sans la mobilisation massive des pompiers et des personnels attachés au site. La charpente datait des années 1950, et aucun élément patrimonial majeur, architectural ou mobilier, n’a disparu. Dès le 11 janvier, grâce à l’implication des services du CMN, de la DRAC, de l’architecte en chef Gabor Mester de Parajd et des entreprises spécialisées, les premières mesures d’urgence avaient été prises. Vous voulez connaître tous les détails ? Vous les découvrirez dans le prochain numéro d’Atrium Construction !