125 ans au compteur pour Placier, Une entreprise de menuiserie, charpente et couverture Placier SAS. ne longue histoire qui s’écrit au présent avec Sara Placier, représentante de la 5e génération d’entrepreneurs.

ATRIUM : QUEL EST VOTRE PARCOURS ?

J’ai suivi une formation en management international et ne destinais pas du tout au bâtiment. J’ai travaillé quelques étés avec mon père pour préparer les dossiers de qualifications MH, puis j’ai aidé au montage d’un projet pour l’entreprise et finalement, je ne suis jamais partie. Cela fait presque 10 ans que j’ai intégré la société dont une année en tant que dirigeante.

ATRIUM : QU’EST-CE QUI VOUS A PLU ?

Le bâtiment est un secteur aux multiples potentiels et le patrimoine, tout particulièrement, est un métier de passion. L’esprit de convivialité et le soutien des compagnons, qui parfois m’ont connu toute petit, sont également très précieux et me permettent de développer ma propre stratégie. Notre engagement quotidien et historique repose sur la défense d’une qualité d’intervention sur toutes nos opérations : c’est un objectif ambitieux et enthousiasmant.

Cela passe par la formation des jeunes mais aussi par l’utilisation de matériaux qualitatifs. Ainsi, nous entretenons depuis plus de 20 ans une relation de confiance avec Cupa Pizarras. Leur réactivité et leurs conseils techniques facilitent aussi notre travail sur le terrain.

ATRIUM : QUEL CHANTIER A PARTICULIÈREMENT MARQUÉ ? 

Le clocher torse de Puiseaux a été étonnant : nous avons montré l’étendue de nos savoir-faire pour réaliser ce chantier d’exception. D’autres sont en cours comme au Château de Fontainebleau où nous continuons de soigner la qualité d’intervention. Pérenniser nos équipes en assurant l’apprentissage des jeunes constitue un enjeu majeur pour la société. Au même titre que nous assurons la transmission familiale de l’entreprise, nous défendons la transmission des savoir-faire pour faire perdurer nos métiers.

 

Pour en savoir plus :

leur site internet juste ici 
Publirédactionnel disponible dans le numéro 80 d’Atrium que vous pouvez vous procurer ici