Le groupe Delta Dore devient signataire de la charte FAIRE, campagne nationale ayant pour objectif de mobiliser les Français et les acteurs publics et privés en faveur de la rénovation énergétique.

Delta Dore a signé le jeudi 4 avril la charte FAIRE en présence de François de Rugy, ministre d’Etat, ministre de la Transition écologique et solidaire, Julien Denormandie, ministre auprès de la ministre de la Cohésion des territoires et des Relations avec les collectivités territoriales, chargé de la Ville et du Logement, Arnaud Leroy, président de l’Agence de l’environnement et de la maitrise de l’énergie (ADEME) et Philippe Pelletier, président du Plan Bâtiment Durable. Cette initiative, soutenue par Cédric O, Secrétaire d’État auprès du Premier ministre, chargé du Numérique, est la première action du plan #aUDAce2020 et a pour objectif de rendre lisible un « service public » d’information et de conseil sur la rénovation énergétique de l’habitat pour les citoyens.

Ce nouvel engagement vient s’inscrire dans une dynamique de recherche collaborative portée par le groupe et répondant à un objectif clair : travailler ensemble pour relever les défis de la transition énergétique et de la démocratisation de la maison connectée. Delta Dore est déjà par ailleurs engagé dans plusieurs projets collaboratifs de grande envergure :

Comepos : lancée en 2013, cette initiative qui associe industriels, constructeurs et académiques, doit permettre d’évaluer scientifiquement et in situ les performances de 20 maisons à énergie positive. Les résultats serviront de référentiel aux autorités, contribuant à l’amélioration des futurs règlements dans le secteur de la construction individuelle.

Smile : un projet commun à la Bretagne et aux Pays de la Loire pour bâtir les premiers réseaux électriques intelligents de l’Ouest dans le but de relever les défis de la transition énergétique et du numérique.

Energy Observer : ce challenge, à la fois humain et technologique, consiste à réaliser un tour du monde à bord du premier bateau autonome en énergie et sans émission de gaz à effet de serre, ni de particules fines, propulsé à l’hydrogène et aux énergies renouvelables, grâce à la mixité énergétique. 

Goflex : Imaginé par les acteurs du Gimélec, cette méthode de calcul évalue et valorise la flexibilité énergétique des bâtiments, c’est-à-dire leur capacité à s’effacer du réseau électrique au moment le plus approprié. Ce nouvel outil a pour objectif de simplifier l’intégration des énergies renouvelables. L’intérêt est de « sensibiliser le consommateur à la disponibilité et à la nature renouvelable de la ressource énergétique ».