En dix ans, la production annuelle de sciages douglas a doublé : si, à la fin des années 1990, elle était en dessous du seuil de 400 000 m3, aujourd’hui, elle est proche de 800 000 m3. Ainsi, cette essence se positionne au troisième rang de la production résineuse nationale, derrière le sapin-épicéa et le pin maritime. L’’analyse de la dynamique de croissance du massif forestier présage, selon l’’association France Douglas, un niveau de récolte supérieur à 5 millions de mètres cubes de bois d’oe’œuvre par an, à échéance de 2030. www.france-douglas.com