Une étude d’opinion menée par TNS Sofres commanditée par Roto France a permis d’analyser l’importance accordée par les propriétaires français à la sécurité des fenêtres. La sécurité des fenêtres apparaît comme un critère indispensable pour 8 Français sur 10. Elle s’avère principalement appréciée des femmes, effectivement, 84 % d’entre elles y accordent une grande importance, mais aussi de 83 % des individus de 65 ans et plus. Le prix de la sécurité 67 % des propriétaires seraient prêts à payer davantage, toutes classes sociales confondues y compris les inactifs, pour installer des fenêtres dites de sécurité. Parmi ces individus 81% habitent en agglomération. Néanmoins, ce surcoût doit être contrôlé, les sondés acceptent de dépenser 20 % de plus (54 % des interviewés), voire jusqu’à 40 % de plus (14 % des individus questionnés). Les éléments primordiaux en faveur de la sécurité Selon le panel, la sécurité des fenêtres passe avant tout par le vitrage (59 %), suivi du mécanisme intérieur (43 %), puis la poignée (30 %), et la paumelle/système de rotation/charnières (29 %) enfin, le matériau bois/PVC/Aluminium (avec 16 et 27 %) Les critères d’achats Les propriétaires sont toujours très attachés aux performances des fenêtres, que soient l’isolation thermique (40 % en premier critère) et l’économie d’énergie (24 %). Seulement 6 % des sondés évoquent la sécurité en premier lieu, mais elle a été mentionnée par 89 % d’entre eux comme autre facteur important dans l’achat. Les propriétaires français de 30 ans et plus, et majoritairement féminins, sont soucieux de la sécurité et de la performance de leurs fenêtres. Ils offrent des perspectives et de grandes opportunités aux professionnels de la menuiserie pour des produits en adéquation avec leurs attentes. Les professionnels peuvent ainsi intégrer ces éléments et cet intérêt particulier autour de la sécurité pour bien informer, et diriger les consommateurs dans leurs projets. Cette enquête prouve que les Français sont prêts à investir plus, dans une limite de prix de 10 % à 30 % supplémentaires pour des fenêtres dites de « sécurité ». Une tendance en totale concordance avec l’étude Roto menée en 2012, qui mettait en avant le fait que le grand public était prêt à dépenser davantage pour de nouvelles solutions techniques leur offrant plus de sécurité.