La commission chauffage au bois du SER salue l’étude « Impact de la qualité du combustible bois bûche et de l’évolution du parc d’appareils à bois sur la qualité de l’air » réalisée par le laboratoire CERIC, qui confirme les résultats de ses propres études. Le chauffage au bois est encore parfois désigné comme l’un des principaux responsables des pics de pollution. C’est pourquoi, la filière mène ou confie des études à des laboratoires pour mesurer la pertinence de cette affirmation. Aujourd’hui, la majorité des équipements vendus sur le marché français affichent un rendement 7 fois supérieur à celui d’une cheminée ouverte et des émissions de particules 30 fois inférieures. Ces performances vont continuer à s’améliorer, soutenues par la mise en place de la réglementation européenne sur l’écoconception des produits. Comme le montre l’étude du CERIC, en associant la qualité du combustible – taux d’humidité du bois inférieur à 20%, bûches fendues, etc. – et l’évolution des performances des appareils de chauffage au bois, il est possible de diviser encore par 10 les émissions de particules d’ici 2030.

 

http://www.laboratoire-ceric.com/pdf/actualites/etude-ceric-chauffage-au-bois-et-qualite-de-l-air-(juillet-2017).pdf