Seul syndicat représentatif de la profession, l’Union Nationale des Géomètres-Experts confirme son ambition de davantage porter la voix des géomètres-experts dans le débat public, avec un mot d’ordre : l’interprofessionnalité. Parmi les principaux motifs de satisfaction, la loi Elan. Elle constitue un premier pas vers un retour à la l’interprofessionnalité au cœur du Permis d’aménager les lotissements, avec l’association des paysagistes-concepteurs au Projet Architectural Paysager et Environnemental. Un premier pas, auquel l’UNGE compte bien en ajouter d’autres. « Notre ambition est de revenir à l’esprit originel de la loi CAP, qui promouvait une réelle liberté de choix pour le porteur du projet, tout en portant une exigence de qualité et de beauté fondamentale pour les territoires », précise Régis Lambert, Président de l’UNGE. L’UNGE souhaite devenir un moteur de cette l’interprofessionnalité. Cette volonté se concrétise d’ores et déjà par des synergies qui vont au-delà même du principe de rapprochement des branches professionnelles impulsé par le gouvernement. Le sayndicat travaille par exemple à l’élaboration d’un diagnostic technique global pour les copropriétés avec l’Union nationale des Économistes de la construction (UNTEC) ou sur des projets concrets avec CINOV, la fédération des syndicats des métiers de la prestation intellectuelle du Conseil, de l’Ingénierie et du Numérique.
Géomètres-Experts : 2019 sous le signe de l’interprofessionalité
